J'ai fait un tour en arrière et je me suis rendue compte, enfin.
J'ai repensé à toutes ces choses que je n'avais pas pu te dire, toutes ces aventures qui ont parsemé mes journées pendant tout ce temps.
J'ai revu tous ces rires que tu n'auras pas entendus, toutes ces phrases que je ne t'aurais pas rapportées.
Tous ces moments qui maintenant appartiennent au passé et ne méritent plus d'être relatés.
Ces bribes de conversations oubliées, enfouies sous une pile de soucis en vrac.
Ces odeurs qui m'ont envahie, ces bourgeons, le reste des chocolats de Pâques, toutes ces mille et unes saveurs que j'ai appréciées, savourées et dont tu ne feras sûrement jamais l'expérience.
Ces cris, ces rires, ces claquements de dents, ces grincements de cordes, ces portes qui claquent toute cette bande son qui fut mienne pendant toute une période.
Ces refrains qui ont rythmé mes journées, ces personnes qui les ont occupées ces airs de guitare et de piano.
Les quelques larmes parce qu'il en fallait, les yeux limonades qui pétillent, les mains qui en disent bien plus que les mots, les pieds qui continuent d'avancer malgré tout, la tête qui reste droite.
Et quand on en arrive là on se dit qu'il ne reste pas grand chose mis à part les regrets.
-"C'est faux.
-Pardon?
-C'est faux parce que les regrets auraient beau être présents il restera toujours ce que toi et tous les autres m'avez donné."
J'ai repensé à toutes ces choses que je n'avais pas pu te dire, toutes ces aventures qui ont parsemé mes journées pendant tout ce temps.
J'ai revu tous ces rires que tu n'auras pas entendus, toutes ces phrases que je ne t'aurais pas rapportées.
Tous ces moments qui maintenant appartiennent au passé et ne méritent plus d'être relatés.
Ces bribes de conversations oubliées, enfouies sous une pile de soucis en vrac.
Ces odeurs qui m'ont envahie, ces bourgeons, le reste des chocolats de Pâques, toutes ces mille et unes saveurs que j'ai appréciées, savourées et dont tu ne feras sûrement jamais l'expérience.
Ces cris, ces rires, ces claquements de dents, ces grincements de cordes, ces portes qui claquent toute cette bande son qui fut mienne pendant toute une période.
Ces refrains qui ont rythmé mes journées, ces personnes qui les ont occupées ces airs de guitare et de piano.
Les quelques larmes parce qu'il en fallait, les yeux limonades qui pétillent, les mains qui en disent bien plus que les mots, les pieds qui continuent d'avancer malgré tout, la tête qui reste droite.
Et quand on en arrive là on se dit qu'il ne reste pas grand chose mis à part les regrets.
-"C'est faux.
-Pardon?
-C'est faux parce que les regrets auraient beau être présents il restera toujours ce que toi et tous les autres m'avez donné."
Et mine de crayon, ça fait déjà beaucoup.
Hum...
Jolie expression!