"J'ai attrapé la folie des barbelés."
Mercredi 19 août 2009 à 18:33
"J'ai attrapé la folie des barbelés."
Publié par elfeperigourdine
catégorie
Commentaires
Par Cha. le Mercredi 19 août 2009 à 22:49
J'aime quand tu es folle.
Par Mercredi 19 août 2009 à 22:53
le tu rends les barbelés beaux.
Alors, chère demoiselle, je te le dirais avec joie sauf que comme toi, je l'ai su, fut un temps. D'ailleurs je songe aussi à m'y remettre aux habillages, mais un peu la flemme. Bref, si tu veux je peux te copier coller mes feuilles de style, et puis bon, je me motiverai un peu pour retrouver ça. Sinon, plus simple et probablement plus efficace : demande à gauthier, c'est avec lui que j'ai fait cet habillage.
Bonne soirée =)
Alors, chère demoiselle, je te le dirais avec joie sauf que comme toi, je l'ai su, fut un temps. D'ailleurs je songe aussi à m'y remettre aux habillages, mais un peu la flemme. Bref, si tu veux je peux te copier coller mes feuilles de style, et puis bon, je me motiverai un peu pour retrouver ça. Sinon, plus simple et probablement plus efficace : demande à gauthier, c'est avec lui que j'ai fait cet habillage.
Bonne soirée =)
Par Samedi 22 août 2009 à 22:19
le Ah ! Les fameux barbelés ! Avec toi, même des fils de fers sont beaux. Ta folie douce me plaît.
Par Jeudi 27 août 2009 à 15:39
le Les barbelés ont un je-ne-sais d'effrayant. C'est une limite, certes, mais menaçante. La rouille, l'odeur rance, le tétanos qui gène. Une limite à franchir, mais elle est là, toujours depuis les décennies, protège les entrées et les sorties. Facilement contournable, facilement traversables, mais symbole universel.
Certaines sont de factures modernes, électrifiées. L'on touche, et on a l'impression d'avoir l'os qui saute, une crise de rigolade. Mais regardé un barbelé, régulièrement pointu, un moment d'inattention et le tissu, la peau, est déchirée, blessée, malmenée.
Les barbelés sont le monde à la fois ouvert et fermé, la douce limite et celle qui blesse, la menace de l'emprisonnement de même que celle qui empêche de violer un sanctuaire.
Certaines sont de factures modernes, électrifiées. L'on touche, et on a l'impression d'avoir l'os qui saute, une crise de rigolade. Mais regardé un barbelé, régulièrement pointu, un moment d'inattention et le tissu, la peau, est déchirée, blessée, malmenée.
Les barbelés sont le monde à la fois ouvert et fermé, la douce limite et celle qui blesse, la menace de l'emprisonnement de même que celle qui empêche de violer un sanctuaire.
Par Jeudi 29 janvier 2015 à 7:34
le . Peut-être d'autres poses (moins "attachée à mon arbre", moins dryade ?) auraient été meilleures ?
Par Vendredi 21 août 2015 à 4:57
le Magnifique!!
Par Mardi 20 octobre 2015 à 5:39
le Quel éclat, cette photo, à l'arrivée de ton blog! On dirait que la vie s'éveille.
Par Samedi 24 octobre 2015 à 3:07
le ue ça me semblait tellement plus simple. Pas besoins de signer des autorisations pour photographier dans des écoles où des us
Par Vendredi 18 décembre 2015 à 3:45
le Eh bien ! le très peu que l'on voit parait en effet assez impressionnant :)
Par Lundi 25 janvier 2016 à 3:05
le vEh bien ! le très peu que l'on voit parait en effet assez impressionnant :)
Par Lundi 25 janvier 2016 à 4:28
le J'aime bien qu'on me trouve bizarre. C'est tellement drôle de voir les gens te dévisager avec les yeux ronds, ils ont des têtes de poissons et je rie encore plus. J'aime quand à inter le petit vieux regarde mes pieds et me refait la même blague "alors mademoiselle,
Par Mardi 15 mars 2016 à 4:38
le La mélancolie est envahissante quand nul ne parvient à comprendre d'où elle vient.
Par Mercredi 30 mars 2016 à 5:07
le C'est drôlement chouette ce que je fais en ce moment, surtout quand je vais à des spectacles de magie gratuitement.
Par Mercredi 18 mai 2016 à 4:56
le nd la plus nostalgique de toutes.
Par Lundi 30 mai 2016 à 5:01
le Il y a des frôlements d'épaule qui retournent le ventre sans qu'on ne comprenne pourquoi.
Par Mercredi 8 juin 2016 à 2:48
le De cette lumière qui me rend vivante.
Par Mercredi 13 juillet 2016 à 2:55
le Coquelicot fatigué
Par Samedi 10 septembre 2016 à 4:20
le une poupée prend vie par le simple éclat d'une ampoule bleue et passer à travers un miroir ne pause aucun problème.
Par Dimanche 18 septembre 2016 à 8:54
le Je vois les nuages qui obscurcissent tout.
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