Les minutes s'écoulent, puis coulent et se noient dans les heures. Des gouttes de buée se sont formées là où je respire, si près de la fenêtre. C'est magique de créer des gouttes par millier juste en respirant, elles glissent le long de la vitre les unes après les autres et ainsi de suite. Le tic tac de la pendule et le frigo qui se met en route bercent mes pensées qui se heurtent aux murs de la pièce. Ce n'est pas aujourd'hui qu'il fera beau.
Vendredi 18 juin 2010 à 14:52
Les minutes s'écoulent, puis coulent et se noient dans les heures. Des gouttes de buée se sont formées là où je respire, si près de la fenêtre. C'est magique de créer des gouttes par millier juste en respirant, elles glissent le long de la vitre les unes après les autres et ainsi de suite. Le tic tac de la pendule et le frigo qui se met en route bercent mes pensées qui se heurtent aux murs de la pièce. Ce n'est pas aujourd'hui qu'il fera beau.
Publié par elfeperigourdine
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Commentaires
Par pelote le Vendredi 18 juin 2010 à 15:01
J'aime cette étreinte ! Cette étreinte ou plutôt ce refuge au creux d'un arbre. Et le texte, le temps semble bien long, les gouttes s'égrainent doucement, comme les secondes... ah mais c'est ça ! j'ai compris ! voilà pourquoi lorsque l'on parle de pluie on parle de précipitations ! ;-)
Par Samedi 19 juin 2010 à 18:30
le oh la femme-arbre! On dirait une jolie nymphe! :)
et toi aussi tu as un jupon-aux-merveilles, rolala je te jalouse!
<3
et toi aussi tu as un jupon-aux-merveilles, rolala je te jalouse!
<3
Par Lundi 21 juin 2010 à 21:18
le Sacrée belle photo ! C'est comme si l'arbre t'enlaçait lui aussi...
Par Jeudi 29 janvier 2015 à 4:30
le On a beau être en couleur on se trouve tellement gris, fade, sans surprise. On reste inchangé, fidèle au poste, fidèle tout cour, vibrant pour les mêmes passions, à l'écart des mêmes conversations.
Par Lundi 22 juin 2015 à 10:26
le On a beau être en couleur on se trouve tellement gris, fade, sans surprise. On reste inchangé, fidèle au poste, fidèle tout cour, vibrant pour les mêmes passions, à l'écart des mêmes conversations.
Par Vendredi 21 août 2015 à 4:50
le Le tic tac de la pendule et le frigo qui se met en route bercent mes pensées qui se heurtent aux murs de la pièce. Ce n'est pas aujourd'hui qu'il fera beau.
Par Mercredi 30 septembre 2015 à 8:58
le Je suis amoureuse d'un caramel, il a la peau toute douce et un accent qui rebondit sur les syllabes et en change certaines . Parfois il mange des mots, ou les transforme, carrément. C'est un magicien qui a décidé que le français n'était
Par Mardi 20 octobre 2015 à 5:43
le Le tic tac de la pendule et le frigo qui se met en route bercent mes pensées qui se heurtent aux murs de la pièce.
Par Samedi 24 octobre 2015 à 3:01
le ue ça me semblait tellement plus simple. Pas besoins de signer des autorisations pour photographier dans des écoles où des us
Par Vendredi 18 décembre 2015 à 3:40
le Eh bien ! le très peu que l'on voit parait en effet assez impressionnant :)
Par Lundi 25 janvier 2016 à 2:59
le Eh bien ! le très peu que l'on voit parait en effet assez impressionnant :)
Par Mardi 15 mars 2016 à 4:21
le Un jour on m'a demandé d'exprimer ça, de sortir, juste un peu.
Par Mercredi 30 mars 2016 à 5:02
le C'est drôlement chouette ce que je fais en ce moment, surtout quand je vais à des spectacles de magie gratuitement.
Par Mercredi 18 mai 2016 à 4:46
le nd la plus nostalgique de toutes.
Par Lundi 30 mai 2016 à 5:00
le On reste inchangé, fidèle au poste, fidèle tout cour, vibrant pour les mêmes passions, à l'écart des mêmes conversations.
Par Mercredi 8 juin 2016 à 2:52
le De cette lumière qui me rend vivante.
Par Mercredi 13 juillet 2016 à 2:50
le Coquelicot fatigué
Par Samedi 10 septembre 2016 à 4:10
le une poupée prend vie par le simple éclat d'une ampoule bleue et passer à travers un miroir ne pause aucun problème.
Par Dimanche 18 septembre 2016 à 8:55
le C'est ça qui est contrariant.
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