Plus un son, des rires étouffés tout au plus, comme s'il fallait absolument se taire. L'atmosphère s'épaissit d'un coup, on se croirait enfermé dans du coton, de la barbe à papa mais sans le sucre. Quand cela dure, ça en devient presque oppressant, on voudrait se blottir contre quelqu'un mais faute de pouvoir le faire, on se serre soit même dans ses bras. Ce n'est pas facile, il faut les croiser puis s'accrocher aux omoplates derrière, sinon on ne tient pas. On a beau s'agriper à sa propre peau, y enfoncer les ongles, rien n'y fait. Alors on abandonne, on s'abandonne à soi et le pire c'est que ça réconforterai presque.
Mardi 25 mai 2010 à 22:20
Plus un son, des rires étouffés tout au plus, comme s'il fallait absolument se taire. L'atmosphère s'épaissit d'un coup, on se croirait enfermé dans du coton, de la barbe à papa mais sans le sucre. Quand cela dure, ça en devient presque oppressant, on voudrait se blottir contre quelqu'un mais faute de pouvoir le faire, on se serre soit même dans ses bras. Ce n'est pas facile, il faut les croiser puis s'accrocher aux omoplates derrière, sinon on ne tient pas. On a beau s'agriper à sa propre peau, y enfoncer les ongles, rien n'y fait. Alors on abandonne, on s'abandonne à soi et le pire c'est que ça réconforterai presque.
Publié par elfeperigourdine
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Commentaires
Par Mardi 25 mai 2010 à 22:53
le Ces mots sont complètement (!). ♥
Par Jeudi 29 janvier 2015 à 4:31
le Je suis amoureuse de la lumière, amoureuse des reliefs qu'elle créée. De ces vides de ces pleins, de ces creux, de ces bosses, de ces trous, de ces gouffres où il fait bon se plonger. Amoureuse des textures qu'elle fait ressortir, de ces plis dans la peau, de ces frissons imperceptibles
Par Lundi 22 juin 2015 à 10:26
le On a beau être en couleur on se trouve tellement gris, fade, sans surprise. On reste inchangé, fidèle au poste, fidèle tout cour, vibrant pour les mêmes passions, à l'écart des mêmes conversations.
Par Vendredi 21 août 2015 à 4:50
le Le tic tac de la pendule et le frigo qui se met en route bercent mes pensées qui se heurtent aux murs de la pièce. Ce n'est pas aujourd'hui qu'il fera beau.
Par Mercredi 30 septembre 2015 à 8:58
le Je suis amoureuse de la lumière, amoureuse des reliefs qu'elle créée. De ces vides de ces pleins, de ces creux, de ces bosses, de ces trous, de ces gouffres où il fait bon se plonger. Amoureuse des textures qu'elle fait ressortir,
Par Mardi 20 octobre 2015 à 5:43
le Le tic tac de la pendule et le frigo qui se met en route bercent mes pensées qui se heurtent aux murs de la pièce.
Par Samedi 24 octobre 2015 à 3:01
le ue ça me semblait tellement plus simple. Pas besoins de signer des autorisations pour photographier dans des écoles où des us
Par Vendredi 18 décembre 2015 à 3:40
le Eh bien ! le très peu que l'on voit parait en effet assez impressionnant :)
Par Lundi 25 janvier 2016 à 2:59
le Eh bien ! le très peu que l'on voit parait en effet assez impressionnant :)
Par Mardi 15 mars 2016 à 4:21
le Un jour on m'a demandé d'exprimer ça, de sortir, juste un peu.
Par Mercredi 30 mars 2016 à 5:03
le C'est drôlement chouette ce que je fais en ce moment, surtout quand je vais à des spectacles de magie gratuitement.
Par Mercredi 18 mai 2016 à 4:46
le nd la plus nostalgique de toutes.
Par Lundi 30 mai 2016 à 5:00
le On reste inchangé, fidèle au poste, fidèle tout cour, vibrant pour les mêmes passions, à l'écart des mêmes conversations.
Par Mercredi 8 juin 2016 à 2:44
le De cette lumière qui me rend vivante.
Par Mercredi 13 juillet 2016 à 2:50
le Coquelicot fatigué
Par Samedi 10 septembre 2016 à 4:10
le une poupée prend vie par le simple éclat d'une ampoule bleue et passer à travers un miroir ne pause aucun problème.
Par Dimanche 18 septembre 2016 à 8:55
le C'est ça qui est contrariant.
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L'image de ton blog est magnifique, et j'ai bcp aimé cet article.